Et parce que, quand je t’encule je ne sens pas ta peau,
dans un excès de caresses mes bras noués à ton cou,
partout ma bouche sur toi
Parce que je ne sens rien de ta douleur
de ta chaleur de ta moiteur,
que le tiraillement des sangles -
et quand bien incliné tu décolles,
palpitant yeux renversés
bouche écartelée sur le silence,
mais je ne te sens pas...
Pour ça, je t’embrasse
comme une météorite,
avec du feu du fracas des larmes,
pour ça je t’embrasse avec les dents,
avec le corps ouvert sur toi,
mais tu es quelque part ailleurs
Ma sueur,
mon front,
mes doigts,
mon coeur
et tu ne me sens pas.
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