Le scabreux désamour
Voguant sur les fluides qui de ton corps s’écoulent
Un instant se dissipe
Et voici que je replonge dans les élans abrupts de la passion.
Je n’en sais que dire….
Je n’ai point de gorge pour scander ce renouveau d’intensité.
Elle a déjà trop servi pour hurler, sa pulpe en feu ne laisse plus passer les mots d’amour,
Qui sitôt pensés, sonnent faux et tristes et l’imposture.
L’instant d’après, je ne suis plus tant dévastée que les ravages de toi sur moi
Me feraient encore songer comme une autre, dont la tendresse ne serait pas déjà flétrie.
Je passe à autre chose.
Voguant sur les fluides qui de ton corps s’écoulent
Un instant se dissipe
Et voici que je replonge dans les élans abrupts de la passion.
Je n’en sais que dire….
Je n’ai point de gorge pour scander ce renouveau d’intensité.
Elle a déjà trop servi pour hurler, sa pulpe en feu ne laisse plus passer les mots d’amour,
Qui sitôt pensés, sonnent faux et tristes et l’imposture.
L’instant d’après, je ne suis plus tant dévastée que les ravages de toi sur moi
Me feraient encore songer comme une autre, dont la tendresse ne serait pas déjà flétrie.
Je passe à autre chose.
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